"Une fois dans le train qui le ramenait au bercail il les tira à la lumière avant de les coucher délicatement sur les buvards qui allaient les délivrer de toute l'humidité qui gagnait leurs fibres. Pour que demain, dans cette même rame, les peaux vives s'éteignent enfin tandis qu'il les délivreraient de leur mots." p 50
"Sa gouaille faisait fureur auprès des touristes qu'il emprisonnait dans sa logorrhée comme une araignée des moucherons dans sa toile." p 69
Ma note : 11/20
Mon avis : Lecture Agréable